Le temps où les entreprises pouvaient se reposer sur leurs acquis est désormais révolu. Innover, communiquer, relancer et sonder font partie des objectifs quotidiens des collaborateurs avec pour seul objectif, de garder le bateau à flot et permettre à la société de conserver ou de gagner des parts de marché.
Un travail conséquent bien loin de celui connu par nos aïeux et qui réclame, de nos jours, une présence numérique évidente et surtout, le besoin permanent de communiquer et d’innover. Comment s’en assurer ?
La présence sur le web est obligatoire
Il n’est pas toujours nécessaire de proposer une vente en ligne si l’on opère en B2B ou que l’on propose uniquement des services, à petite ou grande échelle. Par contre, il semble aujourd’hui impératif de lister ces mêmes produits et ces mêmes services pour que le consommateur ou client potentiel puisse avoir connaissance des possibilités proposées par votre société.
Légende : Le nerf de la guerre
Cette présence en ligne ne peut être sous-estimée et pour se démarquer de la concurrence, l’optimisation pour moteurs de recherche est primordiale. La fameuse SEO réclame généralement l’intervention de spécialistes, mais parfois, plusieurs bonnes habitudes peuvent déjà permettre à votre site Internet de remonter sur Google et autres moteurs de recherche.
Faut-il imiter les précurseurs pour accroître sa zone de chalandise ?
Peut-on encore parler de marché de niche ou les sociétés ont-elles tout intérêt à étendre leurs zones d’activité ? Le virage pris avec brio par plusieurs sociétés numériques et du monde du divertissement fait indéniablement la part belle à la seconde proposition.
L’innovation technologique intervient dans tous les secteurs et grâce à de nouvelles fonctionnalités et des opportunités grandissantes, plusieurs sociétés numériques sont parvenues à s’ériger à des rangs inatteignables il y a encore quelques années. La réussite d’une entreprise passe également par la démocratisation de ses produits et de ses services et tout en restant dans l’univers du divertissement numérique, l’exemple d’une plateforme comme PokerStars reste le plus probant.
En délivrant des conseils permanents, en créant de nouvelles fonctionnalités que les puristes n’attendaient pas et surtout en intégrant la réalité virtuelle et d’autres innovations à ses parties, PokerStars est parvenue à créer un tout nouvel écosystème autour du poker en ligne. Cette évolution dantesque ne s’arrête pas au simple jeu de cartes et continue d’inspirer le monde du divertissement numérique. Ce doit également être le cas d’autres pans qui, par cette innovation liée à une démocratisation massive, doivent comprendre la réussite d’une ouverture au plus grand nombre.
Les réseaux sociaux concernent tous les domaines d’activité
Accepter cette réalité est parfois le plus délicat. Une fois réalisée, la démarche doit suivre et permettre à chaque société de mettre toutes les chances de son côté pour attirer plus d’audience et à terme, bénéficier d’un plus grand chiffre d’affaires.
Pour statuer d’une telle affirmation, le simple exemple d’un supermarché breton peut prouver à quel point les réseaux sociaux – y compris traditionnels – conservent un pouvoir indécent sur le consommateur. Un établissement du Finistère s’est placé sur la carte avec du contenu divertissant, engageant et pour le moins désopilant. Une preuve supplémentaire qu’utilisées à bon escient, avec un suivi évident des tendances, les plateformes sociales sont bénéfiques pour tous les domaines et même ceux qui, aux premiers abords, n’ont pas vraiment d’intérêt à se lancer dans l’aventure.
Il faut ainsi statuer d’une stratégie de communication claire et pour les secteurs numériques, ne pas hésiter à allouer un budget bien plus conséquent pour ces nouveaux formats de communication qu’à des standards publicitaires classiques et en voie de disparition.
Légende : Premier pas vers la réussite
Tendance ou conformisme ? Choisissez votre plan d’attaque
Libre à vous de sauter sur la tendance et de suivre les exploits numériques du magasin breton tout juste cité ou alors, sans grand danger, de rester sur une forme de classicisme. Celle-ci produit généralement bien moins d’engagements web, mais a tout de même le mérite de placer votre société sur la carte. Dans tous les cas, les deux possibilités rappellent l’obligation d’être présent en ligne.