Le nombre de demandeurs d’emploi sans aucune activité (catégorie A) en Bretagne s’élève en moyenne à 147.980 au premier trimestre 2021, soit une baisse de -1,1% sur un trimestre.
Cette baisse est plus importante qu’en France métropolitaine (-0,3 %). Sur un an, le nombre d’immatriculations en Classe A progresse de +4,2% (+6,8% au niveau national).
Nombre de demandeurs d’emploi qui ont besoin de chercher du travail et ont une activité réduite au cours du mois (Catégories B, C) progressent de +1,5% sur un trimestre et de +2,3% sur un an.
Globalement, la demande globale d’emploi (catégories A, B ou C) en Bretagne est aussi stable qu’en France au premier trimestre.
A couvert une moyenne de 268 450 personnes dans la région au cours du trimestre.
Sur un an, il progresse de +3,4% (+4,9% au niveau national).
Rennes est la ville la plus peuplée de Bretagne et offre un véritable gisement d’opportunités professionnelles pour sa population locale active et les nouveaux arrivants que la ville accueille chaque année.
La région rennaise a l’un des taux de chômage les plus bas de France et sa politique régionale privilégie la formation pour répondre aux besoins en main-d’œuvre des différents secteurs d’emploi.
Pour compenser le départ à la retraite d’une future génération de travailleurs, la ville doit rester attractive et faire vivre ses parcs d’activités.
Avec le secteur agricole en berne, il y a un domaine où plus d’offres sont faites que de candidatures reçues : l’industrie, si elle a une mauvaise image, offre de belles opportunités au-delà de son image morne de métiers à la chaîne.